j'ai recup ca mais y'm faudrait un coup de main !!
qui est partant ????
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pas de problémes, avec vv03 on etait déjà sur le coup, il va pas etre content je devais l'aider à déferer raaahh rien que quelques boulons du pied et ta journée est faite
en plus çà doit bien partir sur ebay je plaisante bien sur
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Y que nous deux ce soir ou quoi ???
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bigoux a écrit:
Y que nous deux ce soir ou quoi ???
reunion 62 nan 10 invités en ligne et 5 zincs qui passent
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moi je veux bien vous donné un coup de mains ,
mais je veux tout le mercure par contre ,
je vous prête tout mon matosse les grues de transport et tout ce qui faut pour la découpé si besoin ,
mais bon sa vos pas le coup de le vendre a la ferraille ce truc ,
vos mieux le vendre sur ebay en petit morceau sa rapporte plus que au pois ,
après moi je récupère tout le mercure du pilier nord et ce des autres pilier aussi
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c'est bien à cà que je pensais sur ebay; mise à prix 10euros/10gr
sinon on deboulonne les pieds (t'as vu la taille et poid d'un boulon déjà ? 4 et le camion est plein ) on souffle pour la faire choir et je peux avoir des plateaux à mobilhome et 2 bennes 30t en semie et demonte pneu nous aidera aussi surement
mercure???
Dernière modification par Bachlot (2008-03-07 22:42:58)
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Vous pouvez m'embaucher..... j'ai un peu d'experience: je me suis tape le Brooklyn Bridge!
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ah ben on les tiens les gars du pont en russie puis depuis le temps que çà défigure le paysage, allez hop un petit geste pour l'environnement
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Si vous avez besoin de bras , j'en suis ...............
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ah que c'est beau tout ce volontariat çà m'émeut
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oui man il y a du mercure ,
ce truc et posé sur un lit de mercure d'après ce que j'avais lu dans le temps ,
donc voila la quantité qu'il doit y avoir pour stabilisé les fondations je pense ,
car je vois pas trop a quoi sa peux vraiment servire
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un genre de coussin hydrolique alors ? pour compenser les balottements
j'avais vu la taille des boulons dans les sous sols à "c'est pas sorcier" impressionnant et pourtant j'ai fait de la grosse mecanique mais là c'est encore un stade au dessus
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je croyais que les boulons eté des rivés plus que des boulons ,
es tu sur que ce n'est pas des rivés tes boulon ?
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non plus sur maintenant que tu me fais douter c'etait peut etre bien des clous de 110
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Sinon y a ça aussi du même gars, dès qu'on a fini avec la tour on attaque..........................
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En plus y a tout plein de cuivre................
125 tonnes d'acier et 31 tonnes de cuivre
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ok je suis partent le porte-chart vas allez mais sa vas etre limite en poids et en longeur et largeur
prevoyez les voiture pilote
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Y'en a même qui ont vendu la Tour Eiffel !
http://fr.wikipedia.org/wiki/Victor_Lustig
L'homme qui vendit la Tour Eiffel [modifier]
Dans les années vingt, après la première guerre mondiale, Paris était en plein boom économique. Au printemps 1925 Victor Lustig eut l'idée de vendre la Tour Eiffel après avoir lu un article de presse sur le besoin urgent de la rénover. À cette époque l'idée n'était pas complètement farfelue : la Tour Eiffel avait été construite pour l'Exposition Universelle de 1889 et, au départ, aurait dû être démontée en 1909. Aux yeux des Parisiens, la tour ne faisait pas encore partie de l'image de la ville, et elle était relativement mal entretenue. Lustig se camoufla en fonctionnaire du gouvernement et fit fabriquer de fausses mises au concours pour la vente de la Tour Eiffel.
Il envoya à six ferrailleurs de Paris des invitations à des négociations de vente. C'est dans le prestigieux Hôtel de Crillon, Place de la Concorde, qu'une rencontre confidentielle devait avoir lieu. Un pareil hôtel était un camouflage parfait puisque c'est là que se rencontraient diplomates et hommes politiques. Nos ferrailleurs étaient présents tous les six à la date indiquée. Victor Lustig se présenta comme directeur général, représentant du ministère des PTT. Il expliqua aux intéressés qu'ils avaient été retenus parce qu'on connaissait leur probité en tant qu'hommes d'affaires. Ensuite, il expliqua que Tour Eiffel devait être démolie et vendue comme de la ferraille. Comme il fallait s'attendre à une discussion publique, il voulait d'abord mener confidentiellement les négociations jusqu'à ce que toutes les questions fussent éclaircies. Il emmena ensuite les ferrailleurs à la Tour pour sonder leur comportement et leur intérêt. Il termina en expliquant qu'il attendrait des propositions jusqu'au lendemain. Dès ce moment-là il avait compris qu'il allait conclure le marché avec André Poisson, un homme peu sûr de lui qui espérait se faire une place dans le monde des affaires parisien en achetant la Tour Eiffel. Le caractère de Poisson était tout de même un danger pour le plan, car sa femme se doutait de quelque chose.
Pour achever de le convaincre, Lustig s'arrangea pour le rencontrer une nouvelle fois. Là il changea de ton, se mit à faire des confidences et raconta à Poisson combien il était mal payé comme fonctionnaire et qu'il aimerait bien améliorer son revenu. Poisson connaissait la corruption des fonctionnaires de l'État, si bien qu'il comprit immédiatement que Lustig exigeait un dessous de table. Il n'en fallait pas plus pour le convaincre de l'authenticité de la vente.
Dès que l'affaire fut conclue, Lustig et son associé Dan Collins filèrent à Vienne. Contre toute attente, ils constatèrent que, dans les journaux, on ne parlait pas de cette escroquerie. Poisson mourait tellement de honte qu'il n'avait pas osé aller à la police. Aussi, un mois plus tard, Lustig revint-il une nouvelle fois à Paris pour recommencer exactement le même stratagème. Seulement cette fois l'acheteur se méfia et alla à la police, à la suite de quoi il ne restait plus à Lustig qu'à s'enfuir.
Cet exploit fut repris dans le livre L'homme qui vendit la tour Eiffel (The Man Who Sold the Eiffel Tower) de James F. Johnson et Floyd Miller, paru en 1961 chez Doubleday pour la version originale et en 1963 chez Calmann-Lévy pour la traduction française. En 1964, Claude Chabrol réalisa un court-métrage inspiré de cette histoire et intitulé L'homme qui vendit la tour Eiffel dans le film à sketches Les Plus Belles Escroqueries du monde.
Il est envisageable que Lustig ait été inspiré par l'escroquerie de l'Écossais Arthur Ferguson qui, en 1923, réussit à « vendre » successivement la statue de l'amiral Nelson de Trafalgar Square, Big Ben, ou Buckingham Palace. La même année de la vente de la tour Eiffel par Lustig, Furguson réussit d'ailleurs à louer la Maison Blanche de Washington D.C. mais rata la « vente » de la statue de la Liberté du port de New-York à un riche australien.
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ok j'suis partant , mais je garde ses sous vetements pour moi.
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belle lecon d'histoire comme quoi les femmes çà fout toujours la merde
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DEMONTE-pneux a écrit:
ok je suis partent le porte-chart vas allez mais sa vas etre limite en poids et en longeur et largeur
prevoyez les voiture pilote
pas de soucis j'ouvre la route en 2 roues avec le girophare sur le casque
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ben didonc vous avancé bien les gars
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ah çà on saque dedans nous trop fort nanaki! allez ya encore du boulot apres on part en déplacement iznogoud nous a eu un contrat pour des vieux trucs à debarasser à l'etranger, j'espere que c'est pas le pont de la riviere kwaie car c'est tout bambou
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